Piano à deux et quatre mains, Magie de la Musique !
Envoyée dimanche 02 novembre 2014 à 04:08:00
Musique En Polynésie
Pour la suite de la saison musicale 2014
invite
Guillaume COPPOLA et Hervé BILLAUT
Piano à deux et quatre mains
Les deux grands pianistes ont débuté leur partage de cette passion musicale par la Rencontre avec les élèves des classes CHAM du Collège de Tipaerui.
Le sens didactique des Artistes, leur immense talent ont passionnés et tenus en haleine les 90 élèves pendant deux heures,
au cours d’une rencontre très interactive et riche .
Puis, c’est le public de Moorea , convié à l’Hôtel Moorea Pearl Resort and SPA , qui a pu apprécier cette formation musicale assez rare
et surtout les exceptionnelles qualités musicales et humaines des deux pianistes.
La séance de dédicace qui a suivi le concert a permis aux mélomanes d’échanger avec les Artistes.
Vendredi soir, dans le Grand Auditorium du Conservatoire Artistique de la Polynésie française ,
Hervé Billaut et Guillaume Coppola ont littéralement subjugué le public dès l’interprétation des 16 valses de Johannes Brahms ,
et la soirée musicale , à l’image d’une Schubertiade ,
les pianistes par leur maîtrise technique, la grande musicalité , la nuance exacerbée ,
ont pu faire découvrir la richesse de quatre mains et vingt doigts magique sur le clavier !
La standing ovation et plusieurs rappels promettent un très grand moment
ce dimanche 2 novembre à 17 heures à l’Hôtel Le Méridien Tahiti.
Le programme proposé ci-dessous présentera aussi quelques surprises…
Autour de la Danse
Johannes Brahms
Valses op.39 pour piano à quatre mains
Isaac Albéniz
Suite espagnole et Iberia pour piano (extraits)
(H.Billaut)
Entr'acte
Gabriel Fauré
Dolly, pour piano à quatre mains
Enrique Granados
3 Danses espagnoles pour piano:
- Galante
- Orientale
- Andaluza
(G.Coppola)
Antonin Dvorak
2 Danses slaves pour piano à quatre mains:
op.72 n°2 en mi mineur
op.46 n°8 en sol mineur
et quelques surprises...
Les Artistes et la presse:
« Hervé Billaut, un artiste d’une rare sensibilité... une énergie, un sens du rythme, des couleurs et une subtilité dans les transitions tout à fait remarquables (El Puerto). Il s’engage avec la même maîtrise dans le Troisième Cahier (Lavapiés est tout à la fois fouetté et caressant sous ses doigts experts) et son piano sensuel pénètre au plus profond du clavier. »
France /// Concertclassic.com /// Michel Le Naour /// décembre 2009
« Prenant Fauré comme fil conducteur, le pianiste a convoqué Schumann, Liszt et Chopin pour replacer le Français dans le contexte de son époque. Billaut est plus original encore quand il fait apparaître dans la Berceuse de Chopin une modernité bien peu lénifiante. Ce pianiste a montré, en bis, qu’il jouait décidément mieux que personne l’Iberia d’Albéniz, dont il a donné en 2004 chez Lyrinx un formidable enregistrement. »
France /// Le Monde de la Musique /// François Lafon /// mars 2007
« Hervé Billaut prend le temps, et le résultat qui en ressort est plein d’énergie rythmique détaillée, une musique rapide, régulière et insistante, avec d’extraordinaires lignes mélodiques pleines d’espace et un rubato mouvementé. C’est là une Espagne éternelle, âpre, monumentale, intense et intime. Son cœur se trouve dans les trois pièces du 3ème livre, un portrait de l’Espagne Dure, du désespoir, de la pauvreté et de la résistance spirituelle. Rien n’est embelli. L’abattement d’El Polo est renforcé dans son douloureux trajet rocailleux, la joie intense de Lavapies dans ses accords. »
Angleterre /// BBC Music Magazine /// Robert Maycock /// avril 2009
« Hervé Billaut, grand pianiste français de renommée mondiale et véritable « musicien peintre », a mis son imagination et sa sensibilité au service des mélomanes de Hangzhou, faisant apparaître des images envoûtantes de Paris et d’Espagne par une superbe interprétation de Chopin et d’Isaac Albéniz, et apportant à l’édition 2006 de l’Eté sur le Lac de l’Ouest une touche finale d’exception. »
Chine /// Hangzhou Daily /// août 2006
« Le pianiste français Hervé Billaut a enchanté les auditeurs par sa fabuleuse exécution du Concerto pour la main gauche de Maurice Ravel. »
Allemagne /// Rheinische Post (Düsseldorf) /// mai 1995
« Une maîtrise technique remarquable, un toucher à la fois impérieux et ultrasensible, un phrasé impeccable, et surtout un sens inné de ce qui est essentiel : Hervé Billaut nous donne de ce Concerto une version « à la française », qui, tout en respectant l’originalité foncière de Chopin, la sublime en quelque sorte par une clarté, une transparence incontestables. Hervé Billaut sait magnifiquement laisser chanter les vocalises belliniennes de Chopin, dépassant leur aspect décoratif pour leur accorder leur vraie signification dans le discours.»
France /// Le Figaro /// Pierre-Petit /// novembre 1993
« Brio et aisance : il se joue des difficultés. »
Japon /// Ongaku Geijutsu (Tokyo) /// novembre 1985
Agent artistique : Musique Envol /// 2, rue Pierre Semard 75009 Paris France /// Email : contact@hervebillaut.com /// Site internet: www.hervebillaut.com
Iberia d’Isaac Albéniz au disque et en concert
« Le son est chaud, le jeu intense, la fièvre maîtrisée, le rythme irrésistible. Le pianiste Hervé Billaut joue les quatre cahiers d’Iberia d’Albéniz avec un sens exceptionnel des couleurs et des contrastes. En l’entendant jouer, on pense à Debussy entendant Iberia pour la première fois : « Jamais la musique n’a atteint à des impressions si diverses, si colorées, les yeux se ferment comme d’avoir contemplé trop d’images. »
Le Monde de la Musique /// Olivier Bellamy /// juin 2005
« Hervé Billaut s’est attaqué à ce monument de la musique du XXè siècle. Attaqué est le mot, car on ne joue pas cette musique en lecture à vue, même pour la déchiffrer ! Trop complexe à lire, à ordonner, à faire sonner dans les entrelacs compliqués des mélodies, des rythmes et de la polyphonie. Billaut réussit ce tour de force avec une évidence qui se nourrit du brin de distance expressive qu’il faut pour mieux entrer dans la musique et la restituer avec une subtilité qui la laisse se déployer dans l’espace et le temps. Le talon y claque aussi bien que l’incantation s’y fait prière, que la liesse y explose. »
Le Monde /// Alain Lompech /// avril 2005
« Cette technique est supérieure et la sonorité, profonde, aux nuances très riches, mais on sait gré au pianiste de nous proposer un autre Albéniz que celui qu’on entend le plus souvent. Un modèle de goût. »
4 * Le Monde de la Musique /// Jean Roy /// juin 2004
« Hervé Billaut : Pour Albéniz, toute la fierté espagnole au bout des doigts. » Piano n° 17 /// « Les coups de cœur de l’année 2003-04 »
« Hervé Billaut a été d’une habileté quasi démoniaque, jonglant avec le flamenco et la zarzuela, la convivialité et la mélancolie, la fougue et le rêve. »
Dernières Nouvelles d’Alsace /// août 2002
CD Gabriel Fauré
4/4 étoiles du Monde de la Musique, 5/5 de Diapason, R9/10 de Classica, Sélection de Altamusica, Opus d’Or de Opus Haute Définition
« La Ballade (...) nous réserve ainsi de grandes surprises : jamais nous n’avons entendu aussi nettement, et de façon aussi vivante, les lignes superposées, imbriquées parfois, de la partie de piano et de la réduction d’orchestre. Et jamais jouées avec une telle grandeur. »
Diapason /// Alain Lompech /// décembre 2007
« Hervé Billaut se fait le chantre d’un clavier pur, sans fioritures, qui sait avec intelligence allier grâce et vitalité - Thème et Variations op.73 -, lyrisme contenu et angoisse pudique - Nocturnes, Préludes - mais aussi avec tact et souplesse rendre toute la substantifique moelle des pages les plus proches de l’esprit de salon. »
Altamusica /// Michel Le Naour /// décembre 2007
Contact : Musique Envol /// 2, rue Pierre Semard 75009 Paris France /// Email : contact@hervebillaut.com /// Site internet: www.hervebillaut.com
Guillaume Coppola:
« Miraculeux. Dans le jeu de Guillaume Coppola, toute la générosité de Liszt. »
Télérama, Gilles Macassar
« Quand le jeune pianiste Guillaume Coppola s'empare de Franz Liszt, il en dresse un portrait bouleversant. »
Podcast Télérama.fr
"Il est rare que l'on ait la sensation de retrouver tout Liszt - musicien multipolaire - en un seul programme. C'est le cas ici. (...) Un authentique portrait de Liszt, mais aussi de son siècle, brossé avec justesse par Guillaume Coppola dans tous les registres."
Le Monde, Pierre Gervasoni
« Un jeune pianiste qui impose une présence d’artiste et une sonorité de premier plan. (…)
Pas un seul accord, pas une incise ne sont là par hasard, tout chante, d’une façon naturelle et pourtant pleine d’attentions. (…) Mais un océan de beau piano ne fait pas toujours un grand interprète. Coppola, tout en respectant la lettre des oeuvres, réussit à se frayer un chemin. Il dit « je » d’une voix singulière ; ses phrases sont ponctuées, elles ont des syllabes, un galbe, un ton noble et chaleureux. Et jamais un son brutal ou indifférent ne sort de ce piano qui n’est jamais non plus déserté par celui qui le joue. (…) Il chante en parfait bel cantiste, il a un son, un sens de la couleur et des lignes, des fulgurances poétiques qui sont déjà bien plus que des promesses. »
Diapason, Alain Lompech
« Feu poétique »
« Pari ô combien risqué que de s’aventurer sur des chemins que tant d’interprètes ont fréquentés auparavant… La réussite du jeune pianiste français n’en est que plus éclatante et son CD se range parmi les meilleures surprises discographiques classiques de la rentrée. Avec une technique splendide, mais jamais imbue d’elle-même, Coppola trouve le ton juste. (…) Le merveilleux feu poétique que l’interprète apporte à la musique ne se confond jamais avec l’effet. »
A Nous Paris, Alain Cochard
« Un disque exceptionnel »
RTL, Alain Duault
"Un récital mené magistralement par ce jeune pianiste français. C'est un de nos coups de coeur de la rentrée discographique."
France Musique, Stéphane Grant
« L’exploit de ce disque est d’abord de nous faire découvrir tout (ou presque) de ce sybarite mystique: du plus débridé (Tarantella napolitana) au plus sombre (Vallée d’Obermann), du plus démonstratif (Rhapsodie hongroise n° 2) au plus hardi (Bagatelle sans tonalité), aucune facette de sa personnalité n'est négligée dans ce programme de tous les risques. Car ce portrait du compositeur hongrois est aussi celui d’un interprète : la moindre faute (de technique ou de goût) est ici impardonnable. Avec aplomb et grâce, Guillaume Coppola fait face au monstre lisztien, dompte les difficultés et, mieux encore, sait dépasser la pure virtuosité pour en extraire les merveilles des oeuvres les plus rebattues : même Rêve d’amour, la page de Liszt la plus jouée, apparaît ici sous une lumière nouvelle. C’est un exploit pas si commun que ça que de dévoiler un Liszt nouveau. »
Muzikzen.com, Pablo Galonce
« Liszt primordial »
La Marseillaise
« Une Rhapsodie hongroise de bon aloi clôt ce disque avec brio. La Danza, que tout le monde connaît (sans savoir forcément ce que c’est) mais que personne ne joue, est ici délicieusement virevoltante. (…) On ne joue pas les 6 Consolations. Coppola répare cette injustice de belle manière : son jeu délicat s’y exprime avec bonheur. (…) L’interprétation de la Vallée d’Obermann est très réussie et témoigne d’une belle sensibilité. »
Pianiste, Bertrand Boissard
"La révélation enthousiasmante d'un pianiste fascinant."
La Stradda
"L'un des grands espoirs du piano en France."
L'Est Républicain, Philippe Sauter
"Le jeune pianiste vient de franchir un nouveau pas, et pas le moindre, avec cette interprétation des oeuvres de Franz Liszt. Sensible et généreux, ses qualités se retrouvent à l'écoute de ce disque inspiré. Un très bel album, captivant et émouvant. Une très belle réussite."
La Terre de chez nous, Florence Mourey
"Virtuoses ou très intérieures, les pièces choisies trouvent là de superbes versions, qui n’ont pas à rougir face à une concurrence parfois prestigieuse. Guillaume Coppola (…) devrait rapidement être très connu des amateurs de piano."
RCF, Frédéric Archambeau (coup de cœur de la semaine du 28 septembre au 1er octobre)
"Guillaume Coppola en réalisant ce portrait de Liszt y a mis une part de lui-même tant dans le programme qu'il a choisi que dans son interprétation sobre privilégiant la beauté du son et le discours à la prouesse technique."
Pianobleu.com / Sélection "Disque du moment"
Un grand moment à ne pas manquer pour la dernière intervention des deux grands artistes en Polynésie française.
Tarifs pour les concerts:
adhérent : 3000 francs
Non adhérent : 4500 francs
Jeunes et étudiants : 1000 francs
Renseignements , réservations :
Places limitées
Adhérents : Colette Cartier cartier@mail.pf téléphone : 40 42 47 54
Non adhérent: Moeata au 87 78 93 07 ou Yolande 87 78 60 51
La billetterie est aussi ouverte une heure avant le Récital.
- Site internet www.musique-en-polynesie.com
-Facebook : Musique En Polynésie
-Courriel : jllmep@yahoo.fr
-Téléphone : 87.78.80.62